Champrosay - Vendredi 26 avril (1850) - Parti pour Champrosay à onze heures et demie. Ravi de m’y retrouver. La sensation la plus délicieuse est celle de l’entière liberté. Là les ennuyeux ne peuvent venir me trouver, quoique cela soit arrivé, tant ils sont difficiles à éviter. Le jardin était très en ordre, et tout s’est bien passé.
Dimanche 28 avril - Le matin, grande promenade dans la forêt. Entré par la ruelle du marquis, revu les inscriptions amoureuses de la muraille de son parc. Chaque année, l’a (...)