Dans les odeurs de printemps de Pâques, c’est toute la danse fragile de nos espoirs de vie recréée, vie renouvelée, vie libérée des esclavages et du tombeau de mort. Merveille de nos rêves quand nous laissons l’enfant revenir à la surface de nos vies. Voir le monde toujours premier ! La terre et les hommes gros de toutes les promesses que les siècles, les déroutes, les désastres aussi, n’ont su faire disparaître.
Ici, c’est à destination d’enfants, le chaque jour des premiers jours du monde :
Aux commencements.