La mise à jour que j’ai entreprise ici des textes que j’ai écrits sur Gatti vient inévitablement croiser l’imminence de la parution d’Un peu de toi dont on pourra déjà lire une présentation dans Le basilic, la gazette des Amis des éditions de l’Amourier.
J’ai dit les conditions de ma rencontre avec Monique sous l’égide du Chat guérillero, l’aventure théâtrale que Gatti avait lancée en 1975 au collège Jean Lurçat de Ris-Orangis (Essonne). Ce que j’en ai publié ici est devenu un des chapitres de Un peu de toi.
Au mois de mai 2008, alors qu’il préparait son exposition Comme un papier tue-mouche dans une maison de vacances abandonnée, consacrée à mai 68 et à ses prolongements, Stéphane Gatti est venu nous filmer, Monique et moi, pour que nous racontions ce qu’avait été cette expérience du Chat guérillero. Du long entretien filmé il a bien voulu extraire les quatre séquences que l’on peut visionner ici. Monique était en chimio. Elle n’en avait pour autant perdu ni sa vitalité, si sa beauté.
